La sorbonne structure sa décarbonation avec WeCount

"On a tous été confrontés à ça : l'optimisation de la récolte des données. C'est une étape difficile car il faut savoir comment se structurer, comment organiser le processus pour faciliter les campagnes de collecte et garantir un BEGES précis et fiable."

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La Sorbonne université passe à l'action

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Avec ses 27 campus, 6 sites, 50 000 étudiants et 10 000 employés, Sorbonne Université est un acteur majeur dans l’enseignement supérieur. Depuis plusieurs années, elle fait de la transition énergétique un enjeu central et s'inscrit pleinement dans le contexte national du Développement Durable et de la Responsabilité Sociale et Environnementale (DD&RSE).

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Après un premier bilan en 2018, un second bilan en 2021 a révélé 38 800 tonnes d’équivalent CO₂, avec l’énergie (35%) et les achats (28%) comme principales sources d’émissions. Pour amorcer sa transition bas-carbone, Sorbonne Université a mis en place plusieurs actions clés, dont la rédaction d’un schéma directeur DD&RSE. Ce schéma, qui formalise sa stratégie, couvre des axes tels que la gestion énergétique des bâtiments, les achats durables, la gestion de la durée de vie des équipements et la réduction des déplacements en avion.

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Le défi majeur

Le défi majeur de David Siaussat a été de sortir de la « boîte noire » du processus de calcul des émissions. L’approche précédente, confiée à un prestataire externe, ne permettait pas de comprendre pleinement les données et les choix des facteurs d’émission. Pour renforcer la maîtrise et la transparence, Sorbonne Université a choisi d’internaliser la compétence grâce à notre programme collectif Bilan Carbone WeCount, spécifiquement conçu pour les établissements d’enseignement supérieur.

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Aujourd'hui elle poursuit sa décarbonation en suivant l’évolution de ses émissions via la plateforme WeCount et en structurant sa stratégie climat à long terme.

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L'action pépite de leur stratégie climat

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La règle des "cinq heures" pour les déplacements a permis de réduire l'usage de l'avion de 19% depuis 2019. Si un trajet peut être effectué en train en moins de cinq heures, l’avion est interdit.

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