Marine FOUQUET

Directrice Accompagnement Climat, CSRD & CTO

BTP & Construction

Services & Conseil

Après des études d'ingénieure, une spécialisation en ACV au Danemark et un doctorat en comptabilité carbone, Marine Fouquet s'est spécialisée dans l'impact carbone des projets de construction. En 2021, elle a rejoint WeCount en tant qu'associée pour accompagner et former les entreprises. Elle est aussi responsable du déploiement de notre logiciel de bilan carbone et reporting CSR

CSRD

Stratégie Climat

Bilan Carbone

Les ressources crées par Marine FOUQUET

Selon la commission, ces mesures doivent permettre de renforcer la compétitivité des entreprises européennes tout en soutenant les objectifs du Pacte vert pour l'Europe.

Qu'est-ce que cette nouvelle annonce implique pour la CSRD et pour votre entreprise ?

Retrouvez dans cet article une synthèse des annonces autour de la loi Omnibus !

🆕 Les experts CSRD de WeCount mettrons régulièrement à jour cet article pour vous tenir au courant des évolutions. 

A retenir 📑

  • 80% des entreprises initialement concernées par la CSRD ne sont finalement plus éligibles à la directive,

  • Déplacement du seuil d'éligibilité avec un pointage clair sur les grandes entreprises (1000+ salariés, 450M€+ de CA),
  • Pour les entreprises éligibles, l'obligation de reporting est décalée à 2028, la double matérialité est maintenue mais le format est simplifié (ESRS notamment),
  • La CS3D (directive sur le devoir de vigilance) est reportée d'un an et dans un format plus "accessible".

Une simplification majeure du reporting pour les entreprises, en particulier les PME

Parmi les annonces phares de la commission européenne, il est annoncée une réduction d'au moins 25 % des charges administratives, voire 35 % pour les PME, d'ici la fin de son mandat.

Cette initiative repose sur plusieurs mesures concrètes dans des domaines clés tels que la finance durable, la diligence raisonnable en matière de durabilité, la taxonomie européenne, le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM) et les programmes d'investissement européens.

L'une des réformes majeures concerne la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) et la taxonomie européenne.

Allégement des obligations en matière de reporting de durabilité

Les nouvelles propositions de la commission prévoient notamment :

  • Près de 80 % des entreprises initialement concernées par la directive CSRD ne sont plus éligibles,
  • Un report de deux ans des obligations de reporting pour les entreprises concernées par la CSRD, repoussant leur application à 2028,
  • Une simplification du reporting basé sur la taxonomie européenne, avec une réduction de 70 % du reporting et l'introduction d'un seuil de matérialité financière,
  • Une flexibilité accrue avec la possibilité de déclarer des activités partiellement alignées avec la taxonomie, avec pour objectif de faciliter une transition écologique progressive.

La CS3D (devoir de vigilance) reportée d'un an et rendue plus accessible

Sur le sujet de la Corporate Sustainability Due Diligence Directive (CS3D), les réformes visent à :

  • Alléger les exigences de contrôle, notamment en concentrant l'attention sur les partenaires commerciaux directs,
  • Réduire la fréquence des évaluations périodiques, qui passeront d'une évaluation annuelle à une évaluation quinquennale,
  • Limiter les obligations imposées aux PME dans la cartographie de la chaîne de valeur,
  • Harmoniser les exigences à l'échelle européenne pour assurer une concurrence équitable entre les entreprises des différents États membres,
  • Reporter d'un an l'application des nouvelles obligations pour les plus grandes entreprises, fixant ainsi l'échéance à juillet 2028.

Un CBAM simplifié, les PME retirées du dispositif

Concernant le mécanisme d'ajustement carbone aux frontières (CBAM), la Commission propose plusieurs simplifications importantes :

  • L'introduction d'un seuil annuel de 50 tonnes par importateur, exemptant ainsi environ 90 % des importateurs, principalement des PME, des obligations du CBAM,
  • Une rationalisation des obligations de reporting et des règles de calcul des émissions incorporées,
  • Un renforcement des règles de contrôle pour éviter les contournements et abus,
  • Une préparation à l'extension du CBAM à d'autres secteurs couverts par le système d'échange de quotas d'émission de l'UE (ETS).

Mobiliser 50 milliards d'euros d'investissements supplémentaires

Outre la simplification réglementaire, la Commission européenne propose des ajustements aux programmes d'investissement tels qu'InvestEU et l'EFSI.

Selon la commission, ces ajustements vont amener à :

  • Une augmentation des capacités d'investissement grâce à l'utilisation des retours sur investissements passés et l'optimisation des fonds encore disponibles,
  • La mobilisation de 50 milliards d'euros d'investissements publics et privés supplémentaires,
  • Un soutien accéléré aux projets innovants en lien avec la compétitivité, la transition écologique et la formation,
  • Une simplification des démarches administratives pour les PME et les intermédiaires financiers, générant ainsi une économie de 350 millions d'euros en coûts administratifs.

Quelles sont les prochaines étapes ?

Ces propositions législatives doivent encore être adoptées par le Parlement européen et le Conseil avant d'entrer en vigueur.

La Commission insiste pour que le paquet omnibus soit traité en priorité. La Commission invite donc les co-législateurs à accorder la priorité notamment au report des obligations de reporting CSRD et à la transposition des règles de Due Diligence.

Ces réformes sont une étape décisive pour simplifier les contraintes administratives pesant sur les entreprises et renforcer la compétitivité de l'Union européenne. Néanmoins, le risque est de prendre le chemin de la facilité et de ralentir la transition écologique en mettant en péril nos objectifs de décarbonation.

WeCount est convaincue que la CSRD demeure un moyen d'uniformiser les éléments de reporting ESG et d'avoir un socle commun à tous, mêmes pour les entreprises volontaires.

Reste à voir si les réformes de la commission seront adoptées sans modifications significatives et comment concrètement elles seront mises en œuvre dans les mois à venir.  Suite au prochain épisode. 👀

Les experts et expertes de WeCount ne manqueront pas de vous tenir au courant de la suite et de vous donner les clés pour agir, vraiment !

Sources

Commission simplifies rules on sustainability and EU investments, delivering over €6 billion in administrative relief, 26 février 2025


Article
Impact de la loi Omnibus sur la CSRD : 80% des entreprises ne sont plus éligibles

La Commission européenne a récemment adopté un ensemble de propositions (appellé Omnibus) visant à simplifier la réglementation CSRD. WeCount fait le point sur les premières annonces !

Caroline GAIDON
Temps de lecture
0
26/2/25

Les retours d’expérience opérationnel des entreprises participantes, associés à l’expertise de WeCount et à la dizaine d’experts mobilisés lors du programme ont permis la co-construction d’un guide au plus proche de la réalité terrain.

Contenu du guide

Dans le guide, vous retrouverez :

  • ✅  +80 idées d’actions de décarbonation à l’échelle des entreprise ou de la filière BTP
  • 💡 +15 exemples de mesures concrètes mises en place par des entreprises du BTP
  • 🔎 Le bilan carbone type d’une entreprise du BTP et ses principaux postes d’émissions
  • 📊 Des recommandations de méthodes de calcul bilan carbone spécifiques à la chaine de valeur du BTP

Webinaire de présentation du guide

Vous souhaitez écoutez les témoignages d'experts et d'entreprises du BTP ?

Découvrez notre webinaire sur comment décarbonner les entreprises du bâtiment et de la construction avec la FFB, le CEREMA, BTP Rhône, la BPI et Ribière, entreprise du bâtiment.

Guide
Le guide de décarbonation du BTP

Découvrez notre guide de décarbonation des entreprises du BTP co-créé avec 8 entreprises du secteur et BTP Rhône.

Gauthier LAFFONT
Temps de lecture
0
8/10/24

La CSRD est une nouvelle réglementation qui vient bousculer les règles de déclaration extra-financières. Elle oblige les entreprises assujetties à mesurer, analyser et publier en libre accès leurs performances environnementales, sociales et de gouvernance. Les entreprises doivent désormais inclure la notion de durabilité à leur stratégie globale. Et surtout, elle s'adresse à un large panel d'entreprises.

Vous vous demandez peut-être qu'elle est la définition de la CSRD ? Qui est concerné par la directive ? Quelles sont les conséquences pour votre entreprise ? Tour d’horizon de ce qui change !

Directive CSRD, grands principes de définition

La CSRD en bref

La CSRD (ou Corporate Sustainability Reporting Directive) est une nouvelle directive européenne entrée en vigueur en janvier 2024. L’objectif est de rendre l’information sur la durabilité plus transparente et plus accessible pour les investisseurs.

💡 Bon à savoir : La durabilité concerne les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG). Elle implique une utilisation responsable des ressources terrestres et la construction d’une société viable et juste.

Cette directive standardise les pratiques en matière de rapport ESG. Elle améliore aussi la fiabilité des informations publiées. La CSRD hisse le reporting de durabilité au même niveau d’importance que le reporting financier pour en faire un des piliers de performance de l’entreprise.

CSRD, qui est concerné et quand ?

La directive concerne les grandes, moyennes et petites entreprises. Pour les entreprises de plus de 500 salariés, la CSRD remplace la DPEF, Déclaration de Performance Extra-Financière. Le reporting extra-financier est étendu aux entreprises de taille moyenne et aux filiales non-européennes à horizon 2026.

  • Toutes les entreprises déjà soumises à la DPEF dès janvier 2024 ;
  • Toutes les entreprises cochant deux critères parmi les suivants : plus de 250 employés, 40 millions d’euros de chiffre d’affaires ou 350 000€ à 20M€ de bilan dès janvier 2025
  • Les PME cochant deux critères parmi les suivants : 10 à 250 employés, 700 000 à 40 millions d’euros de chiffre d’affaires ou 350 000€ à 20M€ de bilan dès janvier 2026

💡 Bon à savoir : Une dispense de reporting est possible pour les filiales dont la société-mère publie un rapport consolidé. Dans ce cas, il faudra tout de même fournir certaines informations.


La liste des PME concernées est en cours d’élaboration. Elle devrait être publiée courant juin 2024. Toutes les autres entreprises peuvent suivre cette directive sur la base du volontariat. D’ailleurs, on recommande de le faire quand cela est possible. On vous explique pourquoi en fin d’article !

Que faut-il retenir ?

Le rapport extra-financier analyse l’impact de l’entreprise et la prise en compte des enjeux de durabilité dans sa stratégie. La CSRD structure les informations à analyser pour mieux mesurer l’impact de l’entreprise et de ses investissements.

Avant, le reporting portait uniquement sur l’impact et les risques causés par l’entreprise. Depuis janvier, le rapport doit aussi analyser les conséquences des enjeux de durabilité sur la performance financière de l’entreprise. Il met en relation l’impact et les finances.

Le rapport est directement intégré dans une section du rapport de gestion. Les données doivent être numérisées et publiées en accès libre. Le contenu est structuré selon les normes ESRS (European Sustainability  Reporting Standards). Nous y reviendrons plus bas.

Enfin, les rapports doivent être audités par un organisme tiers agréé ou un commissaire aux comptes au même titre que les rapports financiers. Parmi ces organismes, on compte notamment les avocats ou les experts-comptables.

💡 Bon à savoir : vous pouvez vous adresser aux organismes tiers indépendants dotés de l’accréditation COFRAC ou à tout commissaire aux comptes ayant suivi une formation de 90h homologué H2A.

Double matérialité, de quoi parle-t-on ?

La directive CSRD introduit pour la première fois le concept de double matérialité. La double matérialité correspond à la matérialité financière et la matérialité d’impact. La matérialité financière concerne l’incidence des enjeux ESG sur sa performance financière et son organisation. La matérialité d’impact se rapporte à la répercussion globale de l’entreprise sur l’environnement et la société.

Schéma de double matérialité

En d'autres termes, la double matérialité s'intéresse à l'interaction entre l'entreprise et son environnement, c'est-à-dire comment l'environnement impacte l'entreprise et comment l'entreprise impacte l'environnement. L’entreprise doit prendre ces deux paramètres en compte lors de son analyse.

Reporting CSRD, par où commencer ?

Vous savez maintenant que vous devez rédiger votre rapport. Comment faire pour assurer sa conformité ? Comment bien le rédiger ? Pour établir correctement votre rapport extra-financier, il faudra vous appuyer sur les normes ESRS. Ce sont les informations auxquelles le reporting doit obligatoirement répondre.

ESRS, ce qu’il faut savoir

Les normes ESRS déterminent le contenu et le format de l’information. Elles ont un but d’exhaustivité, de transparence et de comparabilité. On distingue deux types de normes : les normes trans-sectorielles et les normes sectorielles.

Les normes trans-sectorielles sont communes à tous les secteurs. Elles sont classées en quatre catégories et en 12 thématiques qui recoupent les enjeux de durabilité. Le dispositif prévoit une adaptation de ces normes pour les PME cotées et les entreprises non-européennes. Pour le reste des entreprises, il est possible d’établir son reporting ESG selon des normes volontaires. Ces deux listes devraient être publiées courant juin 2024.

Source : WeCount

Les normes sectorielles sont toujours en cours de définition. Elles devraient également être publiées au en juin 2024 et concernent 40 secteurs d’activité.

Pas de panique, l’EFRAG a mis à disposition plusieurs guides (en anglais) pour mieux comprendre le périmètre d’application et faciliter la mise en œuvre du rapport.

💡 Bon à savoir : pour être conforme, le rapport doit être publié au format xHTML. Il s’agit du format électronique européen. Les balises à insérer seront définies dans une taxonomie digitale à venir.

Comment bien cadrer son rapport ?

L’évaluation du rapport extra-financier repose sur cinq critères. Toutes les données doivent être pertinentes par rapport aux normes, sincères, comparables d’une année sur l’autre, vérifiables et compréhensibles par tous.

Il faut décrire précisément les actions déployées pour réaliser les premiers rapports. L’entreprise doit avant toute chose analyser la double matérialité de sa chaîne de valeur pour identifier les informations à faire paraître. On vous explique comment faire.

Quel plan d’action mettre en place ?

Qui dit nouvelles obligations dit évolution de l’entreprise. Comment adapter son organisation à la réglementation ? Quelles actions mettre en place pour assurer une gestion efficace du reporting ? Pauline Roulleau de l’agence experte des sujets ESG Ici & Demain est intervenue auprès de la communauté WeCount.

Elle nous a délivré un plan d’action en 5 étapes :

Etape 1 : Comprendre les exigences de la CSRD

Prenez le temps d’analyser la directive pour comprendre en détail ce qui est attendu. Cela vous aidera à identifier les informations à chercher, l’articulation du rapport et les exigences de publication. L’Autorité des Marchés Financiers peut être un bon point de départ. Cela vous permettra aussi d’estimer la charge de travail et de la planifier.

Essayer de comprendre les enjeux derrière chacun des sujets définis par les normes ESRS. Par exemple, pour adresser le changement climatique, il est utile de connaître les enjeux climatiques, ses impacts et ses facteurs de risque

Etape 2 : Analyse de la double matérialité

L’analyse vous permet d’identifier les sujets ESG qui constituent les principaux impacts, risques et opportunités climatiques pour l’entreprise.

Nous vous conseillons de commencer par la matérialité d’impact avant la matérialité financière. En effet, les impacts de la chaîne de valeur ont souvent des incidences sur la performance financière. Pour faciliter cette étape, l’EFRAG a publié un guide dédiée à l’analyse de matérialité.

Etape 3 : Analyser les écarts

Une fois les sujets de reporting identifiés, il faut conduire une analyse des écarts (ou “gap analysis”). Le but est d’identifier les données manquantes et celles à disposition. Vous pourrez ensuite prioriser les actions pour collecter les informations nécessaires.

Etape 4 : Identifier les ressources à mobiliser

Pour définir votre plan d’actions, commencez par évaluer les ressources à mobiliser. Ensuite, faites un état des lieux des ressources mobilisables en interne et de celles qu’il vous manque.

Vous pouvez déjà identifier les outils et les rôles dont vous aurez besoin. Vous pouvez également déterminer qui sera contributeur du rapport. Veillez à informer vos collaborateurs et votre direction des actions à venir.

Etape 5 : Etablir sa feuille de route

Pour finir, il vous faudra définir votre feuille de route. Pour vous aider, nous vous proposons un exemple de planning réparti sur une année.

Source : Ici et Demain

💡 Notre conseil : utiliser la directive pour enrichir sa feuille de route ESG afin d’utiliser la CSRD comme levier de transformation durable.

Nous vous conseillons d’envisager le reporting extra-financier comme un projet avec en grandes étapes la construction de votre outil de reporting, vos indicateurs, votre méthode de calcul et votre équipe. N’oubliez pas que c’est un processus itératif et que la mise en place sera progressive !

Vous voilà fin prêt à lancer votre campagne de reporting CSRD !

Nos conseils bonus

Peut-être qu’à ce stade vous vous demandez comment vous allez accomplir tout ce travail. Ou bien peut-être que vous vous sentez perplexe face à la quantité d’informations à digérer. Nous avons une liste de conseils (non exhaustive) pour vous faciliter le travail.

1. La double matérialité

Pour l’analyse de la double matérialité, garder en tête l’objectif final. L’analyse de double matérialité est itérative et sera à revoir tous les ans alors ne mettez pas la barre trop haut la première année. Faites d’une pierre de coup en l’utilisant pour établir votre feuille de route de durabilité et de stratégie d’entreprise, l’exercice n’en sera que plus facile les années suivantes.

2. Organisation générale

Commencez dès que possible pour anticiper les risques et les éventuelles difficultés. Cela évitera la surcharge de travail à votre équipe. Plus vous commencez tôt, plus vous pourrez repérer et anticiper les éventuels besoins en formation.

Pensez transversal. La CSRD mobilise l’ensemble de votre entreprise. Assurez-vous que votre équipe projet puisse solliciter toutes les fonctions de l’entreprise, même la direction !

3. Se faire accompagner

En cas de manque de connaissances, de temps ou d’un besoin d’accompagnement, il existe des structures spécialisées dans le domaine de la RSE et du reporting extra-financier.

C’est le cas de WeCount qui accompagne de nombreuses structures quelles que soit leur taille et leurs contraintes.

Enfin, réalisez ou mettez à jour dès que possible votre bilan carbone pour définir votre stratégie climat ! C’est un levier essentiel et obligatoire du rapport de durabilité (CSRD).

Et pour les TPE et PMEs non assujetties ?

La CSRD restructure la stratégie RSE des entreprises. C’est une opportunité d’accélération et de transformation durable peu importe votre taille. Si vous n’êtes pas assujetti au reporting extra-financier, vous pouvez tout de même vous appuyer sur ces axes pour définir votre stratégie. Si le reporting devenait obligatoire pour toutes les entreprises sans distinction, cela vous rendra la tâche plus facile.

En définitive, la CSRD met les enjeux ESG sur le devant de la scène en transformante le rapport extra-financier et en imposant la norme de transparence. La réglementation européenne tend vers une standardisation des rapports et vers une prise en compte de la durabilité dans la stratégie d’entreprise.

Vous avez des questions sur le reporting CSRD ? Contactez-nous !

Article
Directive CSRD, définition et plan d'actions

Vous avez sûrement entendu parler de la CSRD, cette directive qui agite le monde de l’entreprise. Vous êtes concerné ? Voici tout ce que vous devez savoir pour vous préparer !

Marine FOUQUET
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26/9/24
Margot PIAU MOREAU
Caroline GAIDON
Camille BAÏS

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