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Pourquoi les entreprises de la cosmétique doivent-elles s’engager dans la transition bas-carbone ? 🌍
Comment peuvent-elles contribuer à la réduction globale des émissions de GES ?
Comment la FEBEA accompagne les entreprises du secteur dans la réalisation de leur bilan carbone ? 📉
Vous trouverez la réponse à ces questions lors du webinaire co-organisé avec la FEBEA où interviendront :
Déroulé du webinaire :
C’est là qu’intervient la trajectoire carbone. Une feuille de route chiffrée, avec des objectifs clairs à court, moyen et long terme, alignés sur les objectifs climatiques mondiaux. La difficulté souvent évoquée par les organisations est de concilier vision de long terme, appropriation interne, plan d’action ambitieux mais réaliste et suivi dans la durée. Un défi qui peut sembler de taille… mais qui reste accessible ! Comme tout projet de transformation, piloter une trajectoire carbone s’appuie sur des étapes progressives et des cadres éprouvés. Notre article propose des repères pour structurer votre trajectoire, qu’il s’agisse de la lancer ou de la consolider.
Une trajectoire carbone est une feuille de route qui vous guide dans la réduction de vos émissions de gaz à effet de serre. Elle fixe des objectifs chiffrés et progressifs, en cohérence avec les objectifs climatiques internationaux et la neutralité carbone visée collectivement en 2050.
En clair, se donner une trajectoire carbone, c’est inscrire sa stratégie climat dans une feuille de route concrète, avec des objectifs mesurables et vérifiables.
Toutes les organisations n’ont pas aujourd’hui l’obligation légale de définir une trajectoire carbone. En revanche, la CSRD impose déjà aux grandes entreprises de publier des trajectoires de réduction crédibles et alignées sur les objectifs climatiques mondiaux.
Autre exigence à considérer : le plan de transition du BEGES qui impose à certaines organisations des objectifs quantifiés à moyen et long terme pour les encourager à mettre en place une stratégie carbone complète et actionnable.
Pour les autres, définir et suivre une trajectoire carbone tend à devenir incontournable pour :
S’il y a un message clé à transmettre en interne, c’est que la trajectoire carbone n’est pas une contrainte supplémentaire, mais un outil pour se donner les moyens d’agir efficacement et rester compétitif dans un contexte de transition accélérée.
La construction d’une trajectoire carbone repose sur une série de repères, du global au national, qui forment un cadre de plus en plus structurant pour les entreprises.
L’Accord de Paris, adopté en 2015 lors de la COP21, vise à limiter le réchauffement climatique bien en dessous de 2 °C, avec un objectif de 1,5 °C. Pour y parvenir, les États signataires se sont engagés à réduire radicalement leurs émissions de gaz à effet de serre à travers des stratégies nationales et des engagements sectoriels.
Ce cap est ensuite décliné au niveau européen à travers le Green Deal (Pacte vert), qui prévoit une réduction de 55 % des émissions d’ici 2030 et vise la neutralité carbone à l’horizon 2050. Il oriente l’ensemble des politiques climatiques des États membres.
En France, cette ambition prend la forme de la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC). Celle-ci fixe des budgets carbones (= plafonds d’émissions de GES) que le pays ne doit pas dépasser.
Ces budgets sont ensuite déclinés par secteur (transport, bâtiment, agriculture, industrie, production d’énergie, déchets) pour orienter les efforts de réduction. Elle ne crée pas d’obligation directe, mais sert de cadre de référence solide pour vérifier si son plan de réduction est cohérent avec la trajectoire nationale et s’il peut être considéré comme crédible aux yeux des parties prenantes.
Enfin, la CSRD, directive européenne sur le reporting de durabilité, impose désormais aux entreprises concernées de formaliser et publier leur trajectoire de décarbonation. Objectifs, plans d’action, indicateurs de suivi : les trajectoires doivent être claires, alignées et pilotées dans le temps.
En comprenant cette articulation (Accord de Paris, Green Deal, SNBC et CSRD), vous pouvez montrer en interne que les objectifs climatiques mondiaux ne sont pas des horizons lointains ou flous. Ils sont bien traduits en orientations concrètes, déclinées par secteur, et doivent guider la construction de votre propre stratégie climat.
Pour construire une trajectoire crédible et alignée, encore faut-il savoir d’où l’on part… Retrouvez ci-dessous les étapes clés pour bien la structurer !
Avant toute action de réduction, il est essentiel de connaître précisément son empreinte carbone. C’est la première pierre pour amorcer votre trajectoire climat.
Voici les trois méthodes existantes :
Chacune de ces méthodes permet de mesurer les émissions, classées selon leur origine. Le cadre le plus courant est celui des scopes définis par le GHG Protocol : scope 1 pour les émissions directes (ex: chauffage, flottes…), scope 2 pour les émissions indirectes liées à l’énergie (électricité, vapeur…), puis scope 3 pour toutes autres émissions indirectes (achats, transports, usage des produits, déchets…).
Le Bilan Carbone® et le BEGES s’appuient sur cette logique tout en proposant leurs propres catégorisations et niveaux d’exigence. Le Bilan Carbone® tend à couvrir l’ensemble du scope 3 de façon détaillée, tandis que le BEGES peut se limiter à certains postes obligatoires, offrant ainsi une couverture plus restreinte. Dans tous les cas, ces approches s’alignent sur les normes ISO 14064-1 et ISO 14069, qui fixent les principes et les méthodes de comptabilisation des émissions.
Le choix de la méthode se fera en fonction de la finalité du bilan carbone et des activités de l’entreprise. De manière générale :
Pour mieux comprendre les différences entre ces approches et choisir celle qui correspond le mieux à votre organisation, nous avons publié un article détaillé à ce sujet.
💡 Bon à savoir :
WeCount propose un programme d’accompagnement pour réaliser votre bilan carbone en seulement 4 mois ! Conçu autour d’une dynamique collective, il réunit une dizaine d’organisations qui avancent ensemble, s’enrichissent des retours d’expérience des autres, tout en bénéficiant de formations individualisées, d’une plateforme de suivi et de l’appui de consultants experts de leur secteur.
Pour en savoir plus, consultez notre programme d’accompagnement au bilan carbone ou échangez en direct avec un de nos consultants.
Une fois le bilan carbone réalisé, l’étape suivante consiste à définir vos cibles de réduction.
A combien faut-il baisser ses émissions de GES, et à quel rythme, pour rester en cohérence avec l’Accord de Paris et les trajectoires climatiques mondiales ? Ces cibles tracent la trajectoire que votre organisation doit suivre, et votre stratégie climat sera ensuite le levier pour y parvenir.
Pour garantir la crédibilité de cette démarche, la définition des objectifs ne peut pas se faire sans cadre. Deux référentiels sont aujourd’hui utilisés :
Ces deux cadres répondent à une même question clé : comment définir une trajectoire crédible et alignée avec les objectifs climatiques mondiaux ? Voyons en détails ces deux approches.
La Science-Based Targets initiative (SBTi) est née en 2015 d’une coalition entre le CDP, le Global Compact des Nations Unies, le WRI et le WWF. Elle aide les entreprises à définir des objectifs de réduction alignés sur la science climatique, en cohérence avec les recommandations du GIEC et les objectifs de l’Accord de Paris.
Cette méthodologie permet de construire une trajectoire carbone validée scientifiquement, ce qui renforce la crédibilité des engagements de l’entreprise auprès des investisseurs, des clients et des régulateurs.
Concrètement, la SBTi distingue trois horizons complémentaires :
Pour atteindre ces cibles, plusieurs méthodes de calcul sont possibles : la réduction absolue (ex. –42 % d’ici 2030), l’approche sectorielle (trajectoires propres à chaque secteur), ou encore l’intensité physique ou économique (ex. tCO₂/tonne produite, tCO₂/valeur ajoutée).
⚙️ Exemple de cible de réduction avec un objectif court terme.
Une entreprise choisit 2020 comme année de référence avec 10 000 tCO₂ sur les scopes 1 et 2.La SBTi impose une réduction moyenne de –4,2 % par an pour ces deux scopes, soit –42 % sur 10 ans. En 2030, l’entreprise devra réduire ses émissions de scopes 1 et 2 à 5 800 tCO₂.
Si le scope 3 représente plus de 40 % des émissions totales, une cible couvrant au moins 67 % de ses émissions devient obligatoire. Le niveau d’ambition minimal pour le scope 3 correspond à une baisse de –2,5 % par an dans le scénario “Well Below 2 °C”.
Si vous remplissez certains critères (taille, CA, scopes < 10 000 tCO₂e, etc.), vous êtes considérée par la SBTi comme une SME (Small & Medium Enterprise). Dans ce cas, pas d’obligation de se fixer un objectif chiffré sur le scope 3 : il suffit de s’engager à mesurer et réduire ses émissions, avec un processus de validation simplifié.
De plus en plus d’organisations choisissent de faire valider officiellement leurs objectifs par la SBTi. Plus de 11 500 entreprises, dans plus de 50 secteurs, sont déjà engagées dans ce processus. L’avantage ? Une reconnaissance internationale, qui crédibilise vos engagements auprès des investisseurs, des clients et des régulateurs.
La validation suit un processus en plusieurs étapes : engagement, développement, test de validation, annonce publique, illustré ci-dessous.
Si vous voulez avancer sur cette démarche, nous avons consacré un article détaillé aux étapes de validation SBTi et à ses implications pratiques.
Définir sa trajectoire carbone et traduire ses objectifs en chiffres précis est une étape complexe. Une grande partie des organisations passent par une plateforme dédiée pour gagner en rigueur et en temps.
Chez WeCount, nous avons développé une plateforme pensée pour rendre cette étape concrète et opérationnelle. Elle permet :
C’est souvent à ce moment-là que nos clients passent de la théorie à la pratique : une ambition climat devient une trajectoire chiffrée, pilotée et partagée au sein de l’organisation.
Si vous souhaitez en savoir plus sur notre plateforme, contactez-nous pour une demande de démo !
La Net Zero Initiative (NZI), propose un cadre structurant pour atteindre la neutralité carbone à l’échelle collective, en distinguant trois leviers d’action : réduire ses propres émissions, contribuer à la réduction des émissions d’autres acteurs et soutenir des projets d’absorption du carbone.
L’accent est clairement mis sur la réduction prioritaire des émissions propres à l’entreprise. Ce n’est qu’une fois les efforts de réduction engagés qu’il est pertinent de traiter les émissions résiduelles incompressibles, par le financement de projets de séquestration crédibles et certifiés (comme la reforestation ou la restauration d’écosystèmes).
L’un des apports clés de la NZI est de repositionner ce qu’on appelait traditionnellement “compensation” dans une logique de contribution à l’effort collectif, plus transparente et plus exigeante.
À noter que la norme Net Zero Standard (NZS) de la SBTi propose également une trajectoire Net Zero, centrée sur la réduction interne et la neutralisation des résiduelles à l’horizon 2050. NZI et SBTi partagent donc une finalité commune, mais avec des méthodologies et des champs d’application distincts.
La neutralité carbone, aussi désignée sous les termes “Net Zero” ou “zéro émission nette” (qui sont équivalents), est actuellement définie scientifiquement à l’échelle mondiale. Le GIEC décrit cet état comme un équilibre entre les émissions et les absorptions de CO2 au niveau planétaire. Pour limiter le réchauffement climatique à moins de 1,5°C, cet objectif doit être atteint d’ici 2050.
Quand on parle de Net Zero, deux cadres reviennent souvent : le Net Zero Standard (NZS) lancé par la SBTi, et le référentiel Net Zero Initiative (NZI) un référentiel développé par un collectif d'acteurs incluant Carbone 4. Ces deux démarches visent un objectif commun : permettre aux entreprises de définir des stratégies climatiques rigoureuses et ambitieuses, contribuant à l’objectif global de zéro émission nette. Cependant, leur rôle et leur approche diffèrent légèrement.
Le NZS s’impose comme la norme scientifique internationale. Il définit les critères à respecter pour qu’une organisation puisse se déclarer alignée avec le Net Zero : réduction drastique de ses émissions scopes 1, 2 et 3, puis neutralisation des résiduelles incompressibles à horizon 2050. En d’autres termes, le NZS apporte un cadre de validation robuste, reconnu par les investisseurs et les régulateurs.
Le NZI, de son côté, agit comme un tableau de bord opérationnel. Il propose une lecture en trois piliers complémentaires : réduire ses propres émissions (pilier A), contribuer à la baisse des émissions des autres (pilier B), développer des puits de carbone (pilier C).
Les deux approches ne s’opposent pas, elles sont même fortement compatibles (voir le visuel ci-dessous). Le NZS fixe l’ambition et la crédibilité internationale. Le NZI aide à traduire cette ambition en leviers concrets et en suivi opérationnel.
Là où le NZI va plus loin, c’est sur la prise en compte des émissions évitées par les produits et services de l'entreprise (pilier B) et sur une définition plus précise et territorialisée des objectifs de séquestration carbone (pilier C), adoptant une logique de "juste contribution" à l'effort planétaire.
Une trajectoire carbone crédible repose sur un plan d’action précis, chiffré et suivi dans le temps. Chaque action doit être mesurable, avec une estimation de la réduction de CO₂ visée, un budget d’investissement et un calendrier de mise en œuvre.
La nature des actions peut varier, on les classe souvent en quatre familles : la sobriété (agir sur les comportements, consommer moins), l’efficacité (agir sur les équipements, consommer mieux), la transition (changer d’énergie, de process ou même de modèle économique) et la sensibilisation (former et embarquer collaborateurs et parties prenantes).
Votre plan doit aussi intégrer différents horizons de temps :
La question de la priorisation est centrale : toutes les actions ne se valent pas et il faut savoir par quoi commencer.
Un bon repère est la loi de Pareto (souvent appelée règle des 80/20). Sans être une règle mathématique stricte, elle illustre qu’une minorité de causes (20%) génère souvent la majorité des effets (80%).
Appliqué à votre stratégie climat, cela signifie qu’une action capable de produire à elle seule une grande partie des réductions attendues doit être placée en priorité, plutôt que de se disperser sur une multitude de petits gestes à faible effet.
D’autres organisations s’appuient sur des outils plus structurants, comme la grille ClimATE-SMART développée par l'ADEME et utilisée via la méthode ACT Pas à Pas, qui évalue une action selon deux dimensions :
Autrement dit, une action prioritaire est à la fois SMART (bien définie et pilotable) et ClimATE (porteuse de sens dans la trajectoire carbone). Ce double filtre permet d’éviter les plans d’action “catalogue” et de concentrer l’effort sur des leviers structurants.
💡Bon à savoir : Certaines actions ne sont pas “ClimATE-SMART” et n’induisent donc pas directement de réduction carbone mais ce sont des actions structurantes et donc essentielles au plan d’action.
→ Pour vous aider à faire une première analyse et priorisation de vos actions, nous vous mettons à disposition template.
Vouloir suivre une trajectoire carbone ne se limite pas à réduire sa propre empreinte. Plus une organisation progresse, plus elle doit collaborer avec ses parties prenantes pour amplifier ses résultats. Changer de paradigme, c’est passer d’une logique autocentrée à une logique collective, où chaque acteur incite et facilite l’action des autres.
⚙️ Exemple
Kiloutou a co-organisé avec ses concurrents un salon de l’engin de chantier durable afin de diffuser les bonnes pratiques à l’échelle du secteur. De la même manière, Maisons & Cités, bailleur social du nord de la France, a travaillé avec les acteurs du territoire pour développer une filière locale de béton de chanvre
Enfin, aucun plan ne tient sans une gouvernance solide. Mettre en place des instances qui valident, priorisent et suivent les actions est essentiel. Certaines structures ont trouvé des modes de fonctionnement inspirants : Devoteam, avec son « Green Sisco » qui prépare chaque CODIR sur les enjeux climat, ou Hardis, qui a instauré un circuit de validation gradué selon le coût ou la complexité des actions. Ces mécanismes donnent de la consistance au plan et en garantissent l’exécution.
Chez WeCount, nous encourageons les organisations à inscrire leur plan d’action dans la méthode ACT pas à pas de l’ADEME, conçue pour transformer un simple diagnostic carbone en une stratégie climat robuste et crédible.
ACT, c’est un cadre opérationnel qui aide à :
Pensée pour toutes tailles d’organisations, la démarche ACT dure entre 12 mois et 18 mois, est largement subventionnée (jusqu’à 80 % par l’ADEME), et s’appuie sur un accompagnement par des experts formés.
Bonne nouvelle, WeCount fait partie des cabinets de conseils référencés sur la méthode ACT pas à pas !
Notre rôle est d’apporter méthode et clarté à chaque étape : diagnostic, analyse des risques et opportunités, définition d’une vision à long terme, construction d’un plan d’action et mise en place d’outils de pilotage.
Ce qui distingue notre approche, c’est l’aspect collectif et sectorisé que nous mettons en place.
Nous organisons des programmes collectifs, où les entreprises du même secteur ou territoire se retrouvent pour partager leurs expériences, apprendre les unes des autres, et renforcer leur stratégie climat en synergie.
Ainsi, en plus d’un accompagnement personnalisé, vous pourrez échanger avec des acteurs de votre marché, comprendre comment chacun aborde les mêmes défis, et mutualiser certaines actions ou outils. C’est un levier puissant pour maximiser l’impact et accélérer la transition bas-carbone.
C’est le choix qu’a fait IKKS GROUP, qui avait déjà engagé de nombreux leviers de réduction (efficacité énergétique, logistique, achats responsables). Arrivé à un palier, le groupe a rejoint un programme ACT pas à pas collectif animé par WeCount et l’UIT. Objectif : sécuriser sa trajectoire climat, impliquer son Codir et avancer vers une validation SBTi.
🖥️🎤: Découvrez le témoignage d'Elizabeth Sénécaille, Directrice RSE d’IKKS Group, à partir de 37:00 dans notre replay webinar “Les pépites”.
A savoir que lorsque vous rejoignez un programme collectif ACT pas à pas avec WeCount, vous bénéficiez de notre plateforme pour définir votre trajectoire, simuler des scénarios de réduction et construire votre plan d’action.
Vous souhaitez en savoir plus sur la méthode ACT et comment WeCount peut vous accompagner dans la structuration de votre plan d’action bas-carbone ?
Contactez-nous dès aujourd'hui pour discuter de vos enjeux !
Une trajectoire carbone doit être pilotée et ajustée chaque année en fonction des avancées. Cela implique de refaire un bilan carbone pour évaluer l’efficacité des actions, réactualiser les objectifs et intégrer les évolutions scientifiques, technologiques ou réglementaires.
Le suivi de cette trajectoire passe par des outils performants qui permettent non seulement de suivre les émissions en temps réel, mais aussi de comparer les résultats obtenus aux objectifs fixés, et d’identifier rapidement les ajustements à faire pour rester sur la bonne voie.
En plus du bilan carbone de l’entreprise, qui permet de suivre les émissions totales (scopes 1, 2 et 3) et de repérer les leviers d’action, il est important d’avoir des indicateurs plus concrets :
⚙️Focus sur 2 bonnes pratiques pour assurer un suivi continu
Chez Serpollet, un point environnement est intégré au début de chaque réunion hebdomadaire, au même titre que les points sécurité ou chiffre d’affaires, afin de garder la trajectoire carbone au cœur des discussions.
Chez LPG System, chaque business unit dispose d’un budget carbone et suit son propre bilan carbone, détaillant même l'impact à l’échelle individuelle. Cette approche permet à tous les acteurs de l’entreprise de suivre leur progression de manière concrète et adaptée.
Le suivi de votre trajectoire carbone doit être continu, intuitif et surtout facile à intégrer dans vos processus métiers quotidiens. La plateforme WeCount vous offre une solution complète pour piloter vos émissions et ajuster votre trajectoire en toute autonomie, année après année.
Grâce à notre plateforme, vous pouvez :
Votre trajectoire carbone est-elle sur la bonne voie ?
Contactez nos équipes pour échanger à ce sujet ! Nous serons ravis de vous montrer comment WeCount peut vous accompagner dans le pilotage de votre transition bas-carbone. Que ce soit pour définir une stratégie claire et un plan d’action efficace ou pour découvrir notre plateforme de suivi des émissions, nous sommes là pour vous guider.
Apprenez à définir et à piloter la trajectoire carbone de votre entreprise. Découvrez les étapes clés, les outils et des actions concrètes.
Pour vous donner des clés pour agir, WeCount organise "Les Pépites" : des webinaires trimestriels concrets et stimulants pensés pour nourrir vos réflexions sur la stratégie climat et ESG de votre entreprise.
Chez WeCount, les pépites ce sont :
💎 des responsables RSE qui transforment leur entreprise ;
💎 des bonnes pratiques testées et transposables ;
💎 des voix expertes de la RSE et du développement durable !
Rien de plus simple, inscrivez-vous en complétant le formulaire ci-dessous. 👇🏻
Vous n'êtes pas disponible ? Inscrivez-vous pour de recevoir le replay (mais le live c'est mieux, vraiment).
Pour cette troisième édition, nous avons la chance d'accueillir 3 acteurs de la RSE qui comptent vraiment :
🎤 Cindy Pajot, Responsable RSO du festival Hellfest ;
🎤 Bérenger Dudek, Group Sustainable Development Manager de Haulotte ;
🎤 Pierre Peyretou, Professeur Affilié à l'ESCP Business School.
💬 Parce que c'est votre participation qui rend "Les Pépites" encore plus concrètes, nous aurons une session de Q&A après chaque intervention et en fin de webinaire.
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Ce webinar peut vous être utile, mais vous n'avez pas d'email professionnel ? Ecrivez-nous à l'adresse contact-us@wecount.io.
Rendez-vous le mardi 30 septembre pour la troisième édition des Pépites by WeCount avec Pierre Peyretou et les responsables RSE de Haulotte & du Hellfest festival.
Inspirez-vous de trois acteurs textiles engagés : Thuasne, Balas Textile et Promod ! 👕
La transition écologique est un enjeu majeur pour les entreprises textiles. Mais par où commencer ? Comment aller plus loin dans la réduction de vos émissions carbone ? A l’heure de la CSRD, comment anticiper et répondre aux exigences réglementaires et à celles de vos clients ? 🌍
Pour vous éclairer et vous inspirer, l'UIT, UNITEX, l'ADEME et Wecount vous invitent à découvrir :
-> Les témoignages de Promod, Thuasne et Balas Textile qui vous partageront leurs retours d'expérience :
-> Les outils et les dispositifs d’accompagnements dédiés au secteur textile, déjà utilisés par 50 entreprises du secteur :
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